Amour impossible chapitre 8

Bon je suis gentille ou non??  Voilà un petit chapitre de amour impossible que j'ai tapé en deux heures lol.

Jespere que sa va vous plaire quand même.

Voilà gros bisoux a tous et merci de votre patience. =)

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Aidé le, il a besoin de vous…

Mais qui monsieur ?

Gwen…

La lame se dirigea doucement vers l’avant bras droit, se posa délicatement sur la fine peau, puis glissa sur cette chair tendre.

Le sang s’échappé doucement de la plaie superficiel, avant que la porte sois ouverte de force par deux hommes habillé en blanc.

Gwen resté de marbre devant ses hommes qui venait apparemment de l’hôpital. Comment ils savaient… ?

Gwen se laisse soigner docilement avant de suivre les hommes, toujours sur le choc de ce qu’il venait de faire, puis aussi pour les infirmiers. Rapidement transporté dans une ambulance Gwen arriva à l’hôpital ou une équipe l’interceptiona a sa descente du véhicule. Bien vite on lui mit quelque chose sur une plaie, un cri de douleur s’échappa de son joli minois.

On venait de lui mettre un produit sur sa plaie pour désinfecter avant de mettre un bandage épais et de lui prendre la main pour l’amener dans une chambre d’hôpital qu’il connaissait trop bien.

Il avait du mal à respirer a cause du bandage et aussi la peur lui tordait les entrailles, Enzo, il est arrivé un malheur, on va lui apprendre son décès.

Il rentra dans la chambre les larmes d’émeraude coulant de ses yeux, ne supportant pas sa il ouvrit finalement les yeux puis tout devenait clair.

Enzo était assis sur le lit parlant faiblement mais parlant, il était bien vivant. Son cœur lui brûlé de joie, il en avait mal,  il n’arrivait plus a commander son corps, sa respiration lui brûlait les tuyaux pour allé aux poumons. Il avait de plus en plus de mal a respiré, tout en lui pourtant lui disait d’allé vers le miracle qui se tenait devant lui, la seul chose qui réussi a ce qu’il reprenne son corps en main fut la voix de son frère qui murmuré son nom avec une voix enroué signe qu’il pleuré.

Gwen couru jusqu’à son frère avant de lui sauté dessus le faisant tombé en arrière par la même occasion, et enfouit sa tête dans son cous en pleurant tout ce qu’il y avait sur son cœur, toute cette souffrance qu’il a pu endurer en plusieurs mois de vide.

Son frère resté la a écouté cette plainte muette a travers ses larmes, de toute façon il n’a pas subis le vide que Gwen a pu ressentir. Maintenant il lui laissera le temps de profité de lui, sa lui fend le cœur de le voir comme sa, il a pu aussi remarquer son bandage au cou, il se doute ce qu’il ce cache en dessous.

Mais Enzo a une flamme qui grandit en lui, une flamme qu’il ne comprend pas, il n’arrive pas a savoir ce qu’elle veux dire, mais il a un besoin d’être seul avec son frère, il a peur de ce sentiment qu’il ne comprend pas…

Les infirmiers, après avoir décollé les deux frères, et effectuer les derniers soins vital pour l’heure partirent. Gwen et son ainé étaient enfin seuls, aucun des deux ne fit un geste.

« - Tu m’a manqués… »

Enzo pour toute réponse ouvra les bras pour que son frère vienne s’y loger, le contact de tout à l’heure lui manqué déjà. Il avait besoin de cette présence protectrice près de lui. Les deux petit garçons s’endormirent l’un dans les bras de l’autre, un plus heureux que jamais, l’autre avec une présence agréable près de lui.

Chacun se réveilla ainsi toujours collé, mais recouvert par une autre couverture. Sur la télévisons il indiqué qu’il était quatre heures du matin. On distingué vaguement la forme du corps de l’autre sans les détails  précis.

Gwen prit d’une pulsion soudaine posa tout doucement ses lèvres sur celle de son frère. Enzo fit un sursaut, il voyait le visage de son frère bien trop proche du sien, et une paire de lèvre toute douce sur les siennes. Son cœur s’accéléra comme s’il courait un marathon mais lui aussi avait envie de ce baiser. Il allât même jusqu’à l’approfondir et caressa doucement les douces lèvres de son « amant ».Gwen répondit desuite a ce qu’il pouvait maintenant décrire comme un rêve, il allât directement chercher la langue de son amant dans sa bouche. Il la trouva sans grande difficulté, le choc fut électrique entre les deux jeunes, chacun eu un frisson de plaisir, qui parcourut tout leur corps. La danse enflammé du baiser prit son cour dans cette hôpital, plus rien n’existé autour d’eux, chacun étaient dans son monde parfait.

Bien trop vite pour les deux le baiser prit fin, après le rêve il faut venir à la réalité, qui est toujours plus cruelle que le paradis de chacun.

Au petit matin, l’équipe hospitalière furent obligé de les séparés, une fois de plus… Gwen du partir après un dernier soin a son coups, heureusement que la plaie était superficiel. Quand a Enzo il du subir une fois de plus une batterie de teste, pour savoir s’il n’avait pas trop de séquelle de son coma.

Malgré qu’il aurait besoin d’une petite rééducation pour ses jambes, les médecins étaient très surpris qu’il n’avait pas de séquelle, peut être, qui sait disait les médecins c’est peu être des séquelles a long terme.

Dans une semaine environ, Enzo pourrait sortir mais pour l’instant il lui faut beaucoup de repos c'est-à-dire les visites son contrôler, pas plus de 2-3 personnes par jours.

Le lendemain Enzo eu la visite de ses parents, pour une fois ils étaient la tous les deux, le cadet était heureux de revoir ses parents depuis le temps. Pendant ce temps Gwen était une fois de plus dans la chambre de son frère, couché sur son lit les yeux fermé avec les chansons d’Enzo a fond dans la maison , en train de se remémoré le baiser si doux et agréable de son amant.

Pour lui enfin ils avaient un avenir commun, ce baiser était la petite source d’espoir qu’il attendait enfin pour pouvoir tracer son avenir, avec son frère, un futur parfait…